Quand un produit a perdu son âme comme la viande, le réhabiliter relève de la prouesse. Et pourquoi ne pas transformer les bouchers en performers et la viande en piece of art ?
Quand un produit a perdu son âme comme la viande, le réhabiliter relève de la prouesse. Et pourquoi ne pas transformer les bouchers en performers et la viande en piece of art ?
Probablement pas.
Tout simplement parce que les consommatrices n’imaginent pas que leur crème de jour puisse être fabriquée en Chine et que globalement elles s’intéressent très peu au process et au lieu de fabrication.
Ce qui compte pour elles, ce sont les « ingrédients ». Et là deux cas de figure :
Ou comment des cosmétiques sélectifs hyper naturels racontent des histoires sur leurs ingrédients… sans chercher un quelconque statut bio
La battle of the future : Médecine esthétique contre Chirurgie esthétique.
Avec anticipation d’un victoire par KO de la médecine esthétique.
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